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Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
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Le pays des merveilles

Cabane Strindberg

La cabane Strindberg sur l’île de Kymmendö

Les écrits autobiographiques d’August Strindberg (1849-1912) et les milliers de lettres de sa correspondance dressent le portrait d’un écrivain pour qui tous les cadres de la société sont trop étroits et doivent céder sous la pression du monstrueux instinct de vie qui gronde en lui. Pour un homme de ce tonneau-là, la civilisation n’offre aucune pierre où reposer sa tête et ne produit jamais qu’épines et ronces. De là ses perpétuelles errances à travers l’Europe vingt années durant, sans pouvoir nulle part se fixer, « émigrant à la recherche du travail dans la grande Ville, la foire et l’usine des cerveaux combattants ».

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Classé dans: 7.70 Littérature suédoise

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Esquisses à la plume

Bobk

Publiée aux éditions Phébus en 2015, la relation de voyage Douce France d’Andrzej Bobkowski est de facto une longue partie de son journal En Guerre et en Paix 1940-1944. L’écrivain polonais d’origine autrichienne nous fait le récit d’un périple en vélo qu’il fit pendant les premiers mois de la Blitzkrieg jusqu’à l’occupation effective de la moitié de la France par l’armée allemande en 1940.

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Classé dans: 1.30 Littérature polonaise

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Moelle et essence

McCord

Wynn Bullock, Erosion, 1959

Pour la énième fois, William Gasper, un quasi ermite entreprend l’ascension de la Lune, un sommet « aussi nu qu’un point-virgule » de la Sierra Nevada. Une marche en solitaire qui devient vite prétexte à la résurgence de souvenirs sur la guerre de Corée, un passé trouble de tueur à gage, une apparition fantasmagorique. Tel une arme, le corps de Gasper est fourbi par les pas alignés et la discipline militaire qu’il s’impose pour arriver au sommet. Rien ne devait le faire dévier de cette ascension si ce n’est l’arrivée d’un poursuivant armé – point de bascule du récit d’Howard McCord L’homme qui marchait sur la lune. Peu à peu, ce jeu du chat et de la souris prend la forme d’un espèce de satori apocalyptique. Tout en épure, glacial, sans espoir sur l’être humain, il rappelle les romans rongé jusqu’à l’os de Cormac McCarthy tel Mériden de sang ou encore celui de William Gaddis, Agonie d’agapè. Comme le protagoniste de L’homme qui marchait sur la lune, Howard McCord partage son temps entre la lecture, le tir et la marche. Plus poète que romancier, son roman est une belle incursion dans cette prose qui comble le blanc que la poésie laisse entre «la moelle et l’essence ».

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Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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Nevermore

Manet

Edouard Manet, illustration pour Le Corbeau d’Egar Allan Poe, Paris, Richard Lesclide, 1875

Dans les années 1840, Edgar Allan Poe publie l’un de ses plus célèbres poèmes intitulé The Raven, ballade romantique de dix-huit strophes méthodiquement construite de manière à insuffler, par le jeu des rimes intérieures et des allitérations, une extrême musicalité au poème que traverse le cri obsédant, contagieux du corbeau : Nevermore !

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Classé dans: 2.10 Littérature française, 8.20 Littérature américaine

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Fernando Pessoa : le voyage immobile

Par Patrick Quillier

Où il est question, à partir notamment de sa formule « Je n’évolue pas, je voyage », de tout le dispositif de l’hétéronymie, ce pas de côté cher à Pessoa qu’il effectue pour se voir et sentir autrement en « s’autrifiant ».

Classé dans: 5.10 Littérature portugaise

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Berlin, un autre journal

frisch

Jacqueline Salmon, Porte du bassin de réparation, 1999

En 2011, le comité de direction de la Fondation Max Frisch s’autorisait à ouvrir un coffre-fort de Bellevue où se trouvaient les derniers écrits de Max Frisch. En effet, l’auteur zurichois avait souhaité que ceux-ci – cinq cahiers en fait – fussent gardés secrets vingt années après sa mort. De ces cinq cahiers, seuls deux d’entre ont été choisis pour une publication. Après l’édition allemande, c’est aujourd’hui au tour de la française – dans une traduction impeccable de Camille Luscher d’être publiée chez l’éditeur genevois Zoé sous le titre Journal berlinois. Les autres cahiers, qui traitent d’une rupture, resteront privés.

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Classé dans: 7.30 Littérature suisse de langue allemande

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La littérature portugaise au temps des Grandes Découvertes (XV-XVIIe siècles)

Par Michel Chandeigne

À l’époque des Découvertes, Portugais et Espagnols repoussent les limites du monde connu aux dimensions de la planète telle que nous la connaissons aujourd’hui. Alors que les Espagnols se cantonnent à l’Amérique centrale, aux Caraïbes et au nord-ouest de l’Amérique du Sud, les Portugais, après avoir reconnu les contours du continent africain au XVe siècle, atteignent Terre-Neuve et le Brésil en 1500, puis se répandent dans toutes les mers d’Asie jusqu’au Japon, abordé en 1543. Accompagnant ce gigantesque mouvement d’expansion, toute une littérature voit le jour pour décrire ces nouveaux mondes et de nouvelles humanités.

Classé dans: 5.10 Littérature portugaise

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Programme Automne 2016

 

planche-def-2

 

Classé dans: 5. LITTERATURE DE LANGUE PORTUGAISE

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Cours de littérature en six heures un quart

« Plus c’est savant, plus c’est bête »
Witold Gombrowicz

vence-defWitold et Rita Gombrowicz préparant les cours de philosophie, Vence, 1969 (@ H. Garthe)

 

Cet automne, la bibliothèque de la Fondation Jan Michalski inaugure ses cycles de conférences baptisés « Cours de littérature en six heures un quart » en référence à Witold Gombrowicz et son fameux Cours de philosophie en six heures un quart. Quelques mois avant sa mort, l’écrivain polonais avait en effet donné chez lui à sa femme et Dominique de Roux une série de leçons dans lesquelles il retraçait brièvement une histoire toute personnelle de la philosophie, récapitulant sa propre pensée à travers celle des grands noms de la philosophie moderne.

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Classé dans: 1.30 Littérature polonaise

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Prince Johnson

« … ce que chacun de nous cherche
Chez l’autre
C’est l’autre
Les étoiles à midi,
Pendant que la lumière adore son dieu aveugle »                                                                    W. Merwin

johnson

Raphaël Dallaporta, Antipersonnel, 2010

Une nouvelle fois, on ressort un peu sonné de la lecture des Monstres qui ricanent, le dernier livre traduit en français de Denis Johnson. Nous serions tentés de dire : comme d’habitude. Cette récurrence d’un monde – notre monde – plongé dans un cauchemar éveillé n’épargne en effet aucun livre de l’écrivain américain, ni aucun des lieux dans lesquels il campe l’action. Que ce soit dans la paix relative de nos démocraties occidentales ou dans des zones plongées dans le chaos des guerres, les protagonistes semblent toujours pris dans des hallalis protéiformes parce qu’ils ne savent plus vraiment qui ils sont, ni pour qui ils travaillent. A l’instar de Roland Nair, le protagoniste des Monstres qui ricanent, on se souviendra, par exemple de la protagoniste Des étoiles à midi, une jeune américaine plongé dans un Nicaragua en pleine guerre civile ; est-elle une prostituée, une employée d’une ONG, une journaliste, tout cela à la fois ?

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Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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