Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
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Un monstre métaphysique

“Quiconque aurait un minimum de bon sens ne pourrait en vouloir à un esprit profondément sérieux si celui-ci ne proférait sa vie durant que des bouffonneries.”

Ladislav Klíma

Chiasmage
©Jiri Kolár, Kruhy, Chiasmage de carton 97,3 x 67,7 cm (1966)

 

Il faudrait faire, comme le souhaitait Léon Chestov, une histoire des laissés-pour-compte de la philosophie. Y figurerait en bonne place le serpent-philosophe autodidacte Ladislav Klíma. Né en Bohème occidentale en 1878, le jeune Klíma est brillamment expulsé de tous les établissements d’enseignement de l’Empire autrichien pour avoir dans une dissertation atteint à l’honneur de Ferdinand Ier de Habsbourg. (suite…)

Classé dans: 1.40 Littérature tchèque et slovaque

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Lueurs de Bombay

Bombay

©Paolo Pellegrin, Bombay, The waterfront, 2005

Ville-archipel se lovant le long du sous-continent telle une pince de crabe, Bombay est la porte des Indes ; son cœur foisonnant. Quatre auteurs : Giorgio Manganelli, Sadegh Hedayat, Lorenzo Pestelli et Arun Kolatkar – nous aurions pu en choisir bien d’autres – pour découvrir cette mégapole. (suite…)

Classé dans: 2.30 Littérature suisse de langue française, 3.10 Littérature indienne, 3.15 Littérature iranienne, 6.10 Littérature italienne

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Macao, monde flottant

Alex Majoli© Alex Majoli, Macau

 

Partons vers l’Orient – « par delà l’aurore et le Gange » – avec Kenneth White, Miguel Torga et Antonio Tabucchi ; trois façons de se désorienter dans l’ancienne cité lusitanienne, Macao.   (suite…)

Classé dans: 5.10 Littérature portugaise, 6.10 Littérature italienne, 8.10 Littérature anglaise

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Les images de vie

« Ton film aura la beauté ou la tristesse ou etc., que l’on trouve à une ville, à une campagne, à une maison, et non la beauté ou la tristesse etc., que l’on trouve à la photographie d’une ville, d’une campagne, d’une maison. »

(Robert Bresson, Notes sur le cinématographe, Paris, Gallimard, 1990)

 

Lumière

©Andreï Tarkovski, Lumière instantanée, Paris, P. Rey, 2004

 

La vie touche d’une tout autre manière que le discours qu’on fait sur elle. Quelle que soit la puissance du discours, il en va pour nous comme pour cette femme dont parle Kierkegaard dans son journal : (suite…)

Classé dans: 1.10 Littérature russe, 7.80 Littérature danoise, VARIA

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L’avant boom : 1959-1967

Julian DavalosJulian Davalos, bicicleta, 2010

 

En une demi-douzaine d’années, cinq longues nouvelles ou si l’on préfère de courts romans redéfinissent en profondeur la littérature latino-américaine : L’homme à l’affût de Julio Cortázar (1959), Pas de lettre pour le colonel de Gabriel Garcia Marquez (1961),  Aura de Carlos Fuentes (1962) , Ce lieu sans limite de José Donoso (1966) et Les chiots de Mario Vargas Llosa (1967). La même année, avec le succès fulgurant de Cent ans de solitude de Gabriel García Márquez, c’est l’annonce médiatique de ce « renouveau » estampillé du nom de boom. Ces cinq récits tous parfaits – tant dans leur forme que dans les thèmes ambitieux qu’ils développent – ne sont pas considérés comme les grands œuvres de leurs auteurs (Marelle, Cent ans de solitude, La Mort d’Artemio Cruz, L’obscène oiseau de la nuit et Conversation à la cathédrale) mais ils ont le mérite d’en contenir les germes. (suite…)

Classé dans: 4.70 Littérature mexicaine, 4.80 Littérature argentine, 4.83 Littérature colombienne, 4.87 Littérature péruvienne, 4.89 Littérature chilienne

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Être bête

 

être bête©Albert Gusi, Intrusos

Bien camouflé derrière Montesquieu, Diderot, Voltaire ou encore Rousseau, Georges-Louis Leclerc Buffon (1707-1788) est un autre grand penseur des Lumières. Boulimique de travail, il passa sa longue vie à écrire son Histoire naturelle. Cette dernière se compose de trente-six volumes, les textes sont d’une incroyable qualité d’écriture. De l’infime à l’immensément grand, celui qui restera jusqu’à ses derniers jours « frais comme un enfant » passe tout le vivant en revue : des mers aux montagnes, des coquillages aux bêtes. (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française

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La vieille dame et la montagne

 

Tôchun
Tôchun, Paysage. Encre sur papier, Musée Masaki, Osaka

 

C’est dans l’un de ces villages japonais perdu au milieu des montagnes de la région centrale, le Shinshu, que se déroule l’action de Etude à propos des chansons de Narayama de Shichiro Fukazawa. Publié en 1956, ce récit fait penser par sa fausse simplicité au Pedro Páramo de Juan Rulfo et pour son allégorie au Vieil homme et la mer d’Ernest Hemingway. Le genre de récit cristallisant autour d’une culture profondément locale et qui par alchimie s’arrime à l’universel. (suite…)

Classé dans: 3.60 Littérature japonaise

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Les murs nus

Il nous faut être seul et abandonné de tous,
si nous voulons aborder un travail de l’esprit. (Béton)

J’étais absolument impossible à atteindre,
barricadé dans ma maison, dans mon cachot de travail (Oui)

 

Réclusion

 

Dès sa première visite en 1965, Thomas Bernhard est conquis par la ferme « fortifiée » d’Ohlsdorf. Il conclut l’affaire aussitôt et fait de cette bâtisse délabrée du XIVème siècle sa résidence principale (suite…)

Classé dans: 7.20 Littérature autrichienne

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Au Mali, je crois

Au Mali

Pour une fois la sempiternelle estampille du « réalisme magique » pourrait signifier quelque chose avec les récits du nicaraguayen Rodrigo Rey Rosa. Une magie, certes, mais particulière : celle à coup de pilules artificielles comme dans son dernier roman, Les sourds. Pour le réel, c’est celui du Guatemala, devenu au fil des années l’un des pays les plus violents du monde. (suite…)

Classé dans: 4.71 Littérature guatémaltèque

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Les premiers jours

Les premiers jours

Charles Olson (1910-1970) auteur des célèbres Maximus Poems est un arrivé tardif dans le monde de la poésie. Après avoir travaillé dans la haute administration à Washington, il quitte tout et reprend sa thèse d’étudiant en littérature sur Moby Dick et la publie en 1947 sous le titre Appelez-moi Ismaël. Un essai étrange, surprenant par sa construction quelque peu brouillonne et emportée – c’est aussi ce qui fait son charme. Il est facile de voir ce qui a harponné Olson dans sa fascination pour l’œuvre magistrale d’Herman Melville, cette matrice où sont réunis tous les thèmes fondateurs de la littérature américaine. L’extrait ci-dessous en présente certains. La suite de Appelez-moi Ismaël se poursuivra par une description de l’industrie de la baleine ou encore l’influence de Shakespeare sur Melville. (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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