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Paradjanov, visions littéraires

Paradjnov

Sise sur une colline d’Erevan surplombant le canal Nizhne-Razdanskiy se trouve la dernière demeure de l’excentrique cinéaste Sergueï Paradjanov (1924-1990). C’est aujourd’hui un musée où sont exposées des œuvres surprenantes faites de collages, de chapeaux, poupées surréalistes et de peintures folles. Force est de constater l’auteur des Chevaux de Feux n’a donc pas seulement officié avec brio dans le monde du cinéma mais également dans d’autres domaines. (suite…)

Classé dans: 1.70 Littérature caucasienne, VARIA

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Les routes de Panaït Istrati

Istrati© Sébastien Sindeu, Détroits

 

La sortie d’une biographie de Panaït Istrati Un charbon déraciné écrite par Monique Jutrin et la réédition de sa Présentation des Haïdoucs – ces robins des bois des Balkans – tous deux aux éditions de L’échappée nous donne l’occasion de revenir sur cet écrivain longtemps oublié. En effet, cloué au pilori par le milieu éditorial français en raison de sa dénonciation du régime révolutionnaire russe avec son brûlot Vers l’autre flamme : après seize mois dans l’URSS : confession pour vaincus (1927-1928), il ne sortira de l’ombre que dans les années soixante grâce la pugnacité d’écrivains tels que Joseph Kessel. (suite…)

Classé dans: 6.90 littérature roumaine

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Une expérience fondamentale

À l’occasion de l’exposition des œuvres picturales d’Henri Michaux à partir du 21 février 2015 au sein de la Fondation Jan Michalski, la bibliothèque poursuit son petit cycle autour du poète belge. Après Ecuador et Un Barbare en Asie, c’est vers un ailleurs qui n’est pas géographique que nous conduit cette fois Henri Michaux.

 

“Ce que j’y ai vu, même risible, compte encore, m’est plus réel et inoubliable que tous les pays que j’ai parcourus.”
Henri Michaux

Corot

Jean-Baptiste Corot, Orphée ramenant Eurydice des enfers

Ce n’est pas pour l’un des paradis artificiels qu’un matin de janvier 1955 Henri Michaux embarque, en compagnie de Jean Paulhan et Édith Boissonnas, sur la plage d’envol de son appartement de la rue Séguier : (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française, 2.20 Littérature belge de langue française

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La porte étroite

Plus tu es grand, plus il faut t’abaisser.
(Si 3,18)

Gilles Demas, 1

© Gilles Delmas, Jérusalem & l’air, Paris : Geuthner, 2004

Il y avait à l’époque romaine, lit-on, une porte de la ville de Jérusalem si étroite que les chameaux devaient être délestés de tout leur paquetage et si basse qu’ils ne pouvaient la franchir sans mettre genou à terre. Elle se serait nommée la Porte de l’aiguille et aurait inspiré au Christ la parole : “Il est plus facile à un chameau de passer par le chas d’une aiguille…” (Mc 10,25). C’est pourquoi comme le roi David en son temps, c’est pauvre et monté sur un âne que lui-même y entrera.

(suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française

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Le nez dans le ruisseau

l'Ile de St-Pierre© Jacques Laruelle, L’Ile de St-Pierre, décembre 2014

À la suite d’une rencontre au début des années 2000 entre François Lagarde des éditions Hors Oeil et la réalisatrice Christine Baudillon avec le poète-philosophe Philippe Lacoue-Labarthe (1940-2007), ils se décident à tourner sur les lieux des auteurs qui ont pu compter pour ce dernier et sa pensée. Commence alors « un voyage visionnaire » sur les chemins européens avec Iena pour Hegel, Sils-Maria pour Nietzche, Tübingen pour Hölderlin etc… Manière de chercher des « dormances » mais aussi faire « don d’un poème à travers un film » ; un premier film sera tourné en hommage au poème Andenken de Hölderin écrit entre 1803 et 1805 après un séjour à Bordeaux et un second Entretiens à l’Ile St Pierre où il est question de son hôte le plus célèbre, Jean-Jacques Rousseau. La mort de Philippe Lacoue-Labarthe en 2007 viendra mettre malheureusement un point final à ces pérégrinations intellectuelles. Reste de beaux moments d’échange et d’amitié entre Jean-Christophe Bailly et Philippe Lacoue-Labarthe comme dans l’extrait suivant.  (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française

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Fantaisie militaire

Friedrich Glauser

«Né en 1896 à Vienne de mère autrichienne et de père suisse. Grand-père paternel chercheur d’or en Californie (plaisanterie mise à part), grand-père maternel conseiller aulique (beau mélange, non ?). Ecole élémentaire, trois ans au Gymnasium de Vienne. Puis trois ans à Glarisegg. Enfin trois autres au collège de Genève. Mis dehors peu avant le baccalauréat parce qu’il avait écrit un article littéraire sur un volume de poésies d’un professeur. Passe l’examen à Zurich. Un semestre de chimie. Puis le dadaïsme. Mon père voulait me faire interner et placer sous tutelle. Fugue à Genève… Interné un an à Münsingen (1919). Fugue, un an à Ascona. Arrêté à cause de la morphine. Renvoyé de l’autre côté. Trois mois à Burghölzi (contre-expertise parce qu’on avait dit à Genève que j’étais schizophrène). Entre 1921 et 1923, Légion étrangère.» (suite…)

Classé dans: 7.30 Littérature suisse de langue allemande

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Ex oriente lux : un barbare en Asie

À l’occasion de l’exposition des œuvres picturales d’Henri Michaux en février 2015 au sein de la Fondation Jan Michalski, la bibliothèque vous propose ces mois-ci une série d’articles sur le poète belge.

Ex oriente lux 1

© Harry Gruyaert, Calcutta, 2001/Magnum Photos

Au revers qui paraît l’endroit, au cœur d’une prise sans emprise, au long des heures, à l’orée de l’infiniment prolongé de l’espace et du temps, attrape-dehors, attrape-dedans, attrape-nigaud, dis, qu’est-ce que tu fais? Qu’est-ce que tu es, nuit sombre au-dedans d’une pierre?

Les hommes, tu ne les as jamais pénétrés. Tu ne les as pas non plus véritablement observés, ni non plus aimés ou détestés à fond. Tu les as feuilletés. Accepte donc que par eux semblablement feuilleté, toi aussi tu ne sois que feuillets, quelques feuillets.

Il faut un obstacle nouveau pour un savoir nouveau. Veille périodiquement à te susciter des obstacles, obstacles pour lesquels tu vas devoir trouver une parade… et une nouvelle intelligence.

Ce pourrait être les mots d’un poète taoïste mais ce sont ceux d’Henri Michaux à l’heure des bilans dans le recueil quasi-mystique d’apophtegmes Poteaux d’angle. Que ce soit à travers ses dessins ou sa prose et ceci tout au long de sa vie, l’Asie aura été l’espace géographique qui aura le plus profondément marqué et influencé l’œuvre d’Henri Michaux. (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française, 2.20 Littérature belge de langue française, 3.10 Littérature indienne

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On n’est pas des indiens c’est dommage

Indiens© Guy le Querrec, Sur la piste de Big Foot

Avec son visage émacié et sa fine barbe, on pourrait le prendre facilement pour le frère jumeau d’Ezra Pound – lequel qualifiait Jaime de Angulo d’ « Ovide américain ». Jaime de Angulo est un drôle de personnage comme seuls les Etats-Unis savent en accoucher. Né en 1887 à Paris dans une famille d’aristocrates espagnols, il part vers les Etats-Unis au début du XXème siècle et c’est là-bas que Jaime de Angulo devient cow-boy et s’éprend des cultures indiennes en train de péricliter dans le Nord de la Californie. (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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Voces / Voix

Maison Porchia© Ángel Ros, La dernière maison d’Antonio Porchia dans le quartier de Los Olivos, Calle Malaver 1647

Nous allions lui rendre visite dans des maisons chaque fois plus petites, après qu’il dut vendre celle qu’il avait héritée de son frère et en acheter une plus modeste et plus éloignée du centre, pour survivre un temps avec la différence. Mais on y voyait toujours les tableaux que lui avaient donnés leurs auteurs, parmi lesquels certains des plus côtés de la peinture argentine de ce siècle (Potorutti, Victorica, Quinquela Martín, Castagnino, Soldi, Butler, Forner etc.). (suite…)

Classé dans: 4.80 Littérature argentine

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Quand le lieu guérira

Ici, Adam se souvient de sa glaise.
Mahmoud Darwich

Viens me voir là-bas, mets de gros souliers, parce que je
t’emmènerai dans des terrains pleins de cailloux et d’argile.
Jabra Ibrahim Jabra

 SR 1

©Sophie Ristelhueber, WB # 6 (2005)

Sans doute la Cisjordanie n’avait-elle jamais été photographiée comme elle le fut par Sophie Ristelhueber durant les deux séjours qu’elle y effectua, en novembre 2003 et février 2004. L’artiste, qui s’attache depuis trente ans « aux désordres de lieux traversés par des événements majeurs » (la guerre civile à Beyrouth, la première guerre du Golfe, les conflits balkaniques, l’Irak), revenait dans une interview sur la genèse de son œuvre réalisée en Cisjordanie : (suite…)

Classé dans: 3.27 Littérature arabe, VARIA

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